Le citernes d'Antibes
Autrefois, on utilisait des citernes pour stocker de l’eau pour arroser les cultures pendant la saison sèche. On en trouve de toutes tailles, allant d’une petite citerne pour un jardin en ville jusqu’à d’immenses reservoirs pour alimenter les serres et les cultures en plein terre dans les quartiers des Maures ou des Bréguières.
Avec le déclin de l’horticulture, certains citernes ont été transformées en cabanon d’outils, en habitations ou en supports publicitaires.
Ceci n'est pas une citerne
608 Avenue Jules Grec. A l’arrière de l’immeuble « Villa Thalia », ça ressemble à une citerne mais c’est une cache pour les climatiseurs et la ventilation d’un parking souterrain.
Ça ressemble à une citerne, mais c’est une maison dans le quartier des Combes.
Citernes factices
Clos des Orangers, chemin Magnique (secteur des Combes). Un faux citerne à droite du portail qui rappelle le passé agricole de ce quartier.
Idem, chemin des Fées (secteur des Bréguières). Citerne factice à gauche du portail. Intéressant que l’on reconstruit les citernes démolies.
Les constructeurs de citernes signaient souvent leurs œuvres. Ils venaient d’Antibes, Juan-les-Pins, Nice, Carros…
Citernes Dalmasso
Citerne construite par « P. Dalmasso, Le Trianon, Juan-les-Pins ». Moyennes Bréguières.
Citerne signée « Dalmasso, Le Trianon, Juan-les-Pins ».